Isaac

« Le Seigneur devant qui je marche. » Genèse 24,39

Les puits d'Isaac

Genèse 26, 1 ; 12-19 

Alors qu’il y avait une famine dans le pays de Guérar, chez Abimélek, roi des Philistins, Isaac fit des semailles sur cette terre et récolta, cette année-là, le centuple. Le Seigneur le bénit, et Isaac devint un personnage important, de plus en plus important, jusqu’à devenir vraiment très important.
Il avait un troupeau de petit bétail, un troupeau de gros bétail et de nombreux serviteurs. Aussi les Philistins en furent-ils jaloux. Tous les puits qu’avaient creusés les serviteurs de son père Abraham, au temps de celui-ci, les Philistins les bouchèrent en les remplissant de terre. Abimélek, le roi des Philistins, dit à Isaac : « Va-t’en de chez nous, car tu es devenu beaucoup plus puissant que nous. »
Isaac s’en alla donc. Il campa dans la vallée de Guérar et y demeura. Isaac se mit à creuser de nouveau les puits d’eau qu’on avait creusés au temps d’Abraham, son père, et que les Philistins avaient bouchés après la mort d’Abraham. Et il leur donna les noms que leur avait donnés son père. Puis les serviteurs d’Isaac creusèrent dans la vallée et y trouvèrent un puits d’eaux vives.

Méditation

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Le bonheur des autres

L’abbé Pierre, à l’âge de douze ans, vola un jour de la confiture chez lui et laissa un de ses frères accusé à sa place. Ses parents ayant découvert le pot aux roses, il fut privé de participer à une grande fête de famille. Le soir, ses frères et sœurs reviennent enchantés et veulent lui raconter leur merveilleuse journée. Mais lui les accueille sèchement : « Qu’est-ce que cela peut me faire ? Je n’étais pas avec vous. » Après le dîner, son père vint le voir et lui dit : « J’ai entendu ce que tu as dit tout à l’heure et j’en suis très déçu : comment pourras-tu être heureux si tu ne sais pas te réjouir du bonheur des autres ? »
Selon l’abbé Pierre, cette phrase a changé sa vie. Ce jour-là, il a cessé de ne s’intéresser qu’à lui-même, il a compris que le bonheur des autres était la condition de son bonheur et que le bonheur des autres n’enlevait rien à son bonheur. Il est devenu un ami de Dieu, un ami de la vie qui jaillit.
Le Seigneur avait béni Isaac et il « devint un personnage important, de plus en plus important, jusqu’à devenir vraiment très important. »* Chassé par les jaloux, il aurait pu devenir amer ou violent. Mais il choisit de déblayer les puits de son père Abraham pour que la vie jaillisse de nouveau. Alors, « les serviteurs d’Isaac creusèrent dans la vallée et y trouvèrent un puits d’eaux vives ».** car le Seigneur est venu pour que nous ayons « la vie, la vie en abondance »***. Soyons des serviteurs de la vie : faisons jaillir la vie en abondance pour nos prochains afin d’avoir part à cette vie.

* Gn 26,13
** Gn 26,19
*** Jn 10,10
Méditation enregistrée dans les studios de Radio RCF Tours S. Martin


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63 commentaires

Je crois que l'histoire de l'abee est un bon exemple de conversion. Le seigneur sait comment utilise nos faiblesse pour nous communiquer sa vie, sa force .Isaac a été un homme de vision en acceptant la perte Dan's cette vie pour gagner l'eternite, Et ce fesant il eu bon de cause aussi bien ici bas que Dans l'eternite.Ceux qui Marchent avec Dieu ne luttent pas Avec Les hommes Dans Les conflicts d'interet. Car ils ont l'espoir et l'espoir ne conduit point a la honte.

Par ATIPOE SYLVANUS JERUSALEM 22 février 2020 à 14 h 37 Répondre à ce commentaire

Dieu est bon pour nous

Par Ricardo Manuel Massamba 26 septembre 2017 à 17 h 32 Répondre à ce commentaire

Acceptons la main du seigneur et prions-le de nous accorder de vivre réellement, de vivre l'abondndance de la vie et de pouvoir ainsi transmettre, partager,demandons par notre prière, l'eau vive de sa grâce sur toute notre humanité.

"Que Dieu habite votre coeur et vous rende heureux maintenant et pour toujour, "
Ouvrez tout grand les portes au christ et vous trouverez la vraie vie...Fraternellement

Par brig 29 juin 2017 à 18 h 59 Répondre à ce commentaire

Isaac aurait pu se décourager, se révolter, il reste positif et se met de suite au travail pour "creuser de nouveau les puits d'eau qu'on avait creusés au temps d'Abraham, son père", il s'inscrit dans la continuité de l'œuvre de ce dernier, puisqu'il leur donne "les noms que leur avait donnés son père", il continue par ses serviteurs à "creuser dans la vallée".

Ce travail persévérant malgré toutes les embûches, peut symboliser notre avancée avec Toi, Seigneur.
Même lorsque nous croyons avoir tout perdu, Tu nous invites à reprendre le chemin, à recommencer, à renaître.

Ces "eaux Vives" qui jaillissent, c'est Ta VIE, Seigneur qui se répand quand nous agissons avec Toi, par Toi et en Toi.

Par MARIE 29 juin 2017 à 11 h 47 Répondre à ce commentaire

Sois bénie N
Avant c'était la nuit,
mais regarde aujourd'hui :
si tes amis sourient
c'est que Dieu t'a choisie.

Le signe de la croix
qu'on tracera sur toi
sera comme une étoile
et guidera tes pas.

Et ces bougies-lumière ?
elles sont une prière
qui monte de la terre,
vers Dieu notre Père,
lui dire que nous sommes frères.

Cette eau d'éternité,
source de pureté
fait que tout a changé,
car tu es baptisée,
enfant illuminée.

L'Esprit qui souffle en toi
t'apporte cette même foi
qui nous donne la joie.
Nous unissons nos voix
de baptisés pour toi.

Sois bénie N
car Dieu est ton ami.

Prière rédigée par des enfants

Par Prière de Baptême 29 juin 2017 à 11 h 15 Répondre à ce commentaire

Se laisser faire... Pas de révolte, chez Isaac. Pas plus lorsqu'il est chassé de cette terre qu'il a rendue fertile que lorsque, tout jeune, il fut ligoté au bûcher. "[M]ais où est l'agneau pour l'holocauste?" avait-il alors demandé. "C'est Dieu qui pourvoira," avait répondu son père (Gn 22). Cette réponse semble infuser sa vie. Dieu entend sa prière lorsqu'il s'adresse à lui pour Rébecca, et c'est bien en abondance que la vie lui est donnée en ces jumeaux qui naissent là.
"Séjourne dans ce pays-ci, je serai avec toi et te bénirai." C'est fort de cette promesse (v.2) qu'Isaac s'installe à Guérar, en ce temps de famine. Isaac, s'il marche sur les traces de son père en obéissant à Dieu, tombe alors aussi dans les mêmes travers. La peur le pousse à dire que sa femme est sa sœur. "Que nous as-tu fait?" avait demandé Abimélek à Abraham, découvrant alors la vérité (Gn 20, 9). "Qu'est-ce que tu nous as fait là?" (v.10) Sa question à Isaac est comme un écho à travers le temps. Des paroles que père et fils ont entendu. A l'intercession d'Abraham Dieu alors "guérit Abimélek, sa femme et ses servantes, pour qu'ils puissent avoir des enfants" (Gn 20, 17). C'est alors qu'Isaac "moissonna le centuple" cette année-là. La fertilité dans la reconnaissance de ce qui est, dans la peur dépassée. Et la bénédiction rejaillit sur ceux qui entourent celui que Dieu a béni. Elle peut être rejetée, ou accueillie. Les puits rebouchés, ou l'eau vive puisée pour irriguer toute vie.

Par Audrey 29 juin 2017 à 6 h 59 Répondre à ce commentaire

O Dieu , tu ne dédaigne pas un coeur brisé et humilié .
La foi n'a aucune circoncision , mais dans "le monde "
elle rencontre des limites , certains se prennent la tète
d'autres se contente de marcher (les pieds ) ,le Corps
du Christ , Marie -Madeleine , s'inclinera pour laver , et
parfumer les pieds du Seigneur ,l'amour vrai , s'incline .
Il marche pour offrir sans calcul , il donne vraiment de
tout son coeur .C'est dire que Jésus en lavant les pieds
des apôtres , donne ainsi de faire de nos "dettes " , un
pardon , et quand nous recevons de même , les mauvais
liens , sont déliés ! La Tète pour bien marcher , fait confiance
aux membres ,et versa , embrasser les pieds du Christ ,
les parfumer , c'est répandre la bonne odeur .
Dieu est amour , Ne laissons pas notre foi pendre les ailes
des pensées du monde qui conditionne les pas possibles .
Et ne nous laisse pas entrer en tentation , connaître Dieu ,
faire route ensemble , pas à pas , grandir dans la foi , c'est
découvrir ce trésor fait jaillir la vie en abondance .Mais Tu aimes
la vérité au fond de l'être , dans le secret , Tu m'enseignes la sagesse .
Seigneur augmente notre foi .Ainsi nous pourrons voir , entendre , marcher ..Prier , chanter TA louange ,
une hymne à la vie éternelle .Seigneur dit seulement Une Parole et ...Vivons -le .

Par fred 29 juin 2017 à 6 h 55 Répondre à ce commentaire

Salut Frère !
Souhaiter le bonheur de l'autre ; oui bien sûr, mais quel parcours à entamer, quand la jalousie cherche à s'installer si on ne fait pas le premier pas vers l'autre (par exemple dans la famille, entre frères & sœurs, si l'un a la préférence ou du père ou de la mère....), pas si facile. En lisant le récit biblique tout est bien et beau, DIEU est présent, Il encourage, et c'est dans ce sens que nous devrions agir, sentir la présence de DIEU en nous.
Merci !

Par Colette 29 juillet 2016 à 0 h 39 Répondre à ce commentaire

c'est très beau tout cela, mais ce n'est pas facile tous les jours, quand je ne peux quitter ma chaise roulante

Par Museur 14 juin 2016 à 11 h 49 Répondre à ce commentaire

Si nous voulons donner du bonheur aux autres ,il faut déjà s'aimer,s'accepter,s'ouvrir,donner un sourire,écouter :ce n'est pas toujours facile mais si on y arrive ,ce n'est que du bonheur partagé!

Par ANNETTE FRANCAIX 14 juin 2016 à 11 h 21 Répondre à ce commentaire

Comment être heureux si on ne sait pas se réjouir du bonheur des autres ? Pensons à la femme qui a perdu sa drachme, elle n'a de cesse tant qu'elle ne l'ai retrouvée; quand elle l'a retrouve, elle appelle ses amies pour qu'elle se réjouissent avec elle. Savoir se réjouir comme pour la brebis perdue, le fils retrouvé. Ces paraboles nous disent qu'il y a dix fois, cent fois plus de joie en Dieu pour un pécheur qui revient à Lui que pour un juste qui lui est resté fidèle.
Je m'écarte du puits d'Isaac; mais Abimélek, par sa jalousie obligea Isaac à quitter le pays. Il ne se découragea pas pour autant et continua à déblayer les puits qu'avait creusé son père.Seule, la foi peut donner cette énergie, cette ténacité. Son courage, sa confiance en Dieu ont été récompensés. Ses serviteurs finirent par trouver la source d'eau vive. Cette source intarissable du coeur de notre Seigneur qui nous purifie, nous désaltère.

Comme la Samaritaine, je te demande : Seigneur, donne-moi de cette eau vive.

Par Marjeanne 13 juin 2016 à 20 h 14 Répondre à ce commentaire

JOIE ! Supplément d'âme quand on partage la joie des autres! On a tant besoin de voir des êtres joyeux.........c'est si rare!

SOYONS TOUJOURS JOYEUX ET PRIONS SANS CESSE,
EN TOUTE CHOSE RENDONS GRACE A DIEU,
C'EST SA VOLONTE POUR NOUS DANS LE CHRIST,
GLOIRE A TOI OH SEIGNEUR NOTRE DIEU!

Merci!

Par mic 12 juin 2016 à 22 h 09 Répondre à ce commentaire

Bon dimanche a tous et merci pour cette meditation et tous les commentaires qui m, aident a l, approfondir.

Hier, elle m,a poussee a partager une fete avec une amie avec un peu de renoncement ( temps surtout) . Merci pour le programme et que lq grace du seigneur nous accompagne . Union de priere et restez tous benis( je ne trouve pas tout sur mon clavier et SVP veillez pardonner mes fautes)

Par Beatrice 12 juin 2016 à 16 h 29 Répondre à ce commentaire

merci pour cette lecture,et l'interpretation, que leSeigneur vous benisse au centuple.

Par Gladys Severe 11 juin 2016 à 20 h 33 Répondre à ce commentaire

Merci pour cette belle méditation, Frère Nicolas Burle , bien vrai, .... Jésus-Christ est venu sur terre pour semer l'Amour, et nous dire aimez-vous les uns, les autres, ... c'est un vrai bonheur de s'entraider là où nous vivons chaque jour, au nom de notre foi, même si nous avons des rejets, prions pour ces personnes, .... Ste Thérèse nous dit " Aimer c'est tout donner, " ... Rita Giuliani

Par Rita Giuliani 11 juin 2016 à 15 h 09 Répondre à ce commentaire

L'Abbé Pierre enfant n'était pas jaloux du bonheur des autres. Il était indifférent. Indifférent du bonheur des autres . Et du malheur des autres ? Le Christ nous a dit "Tu aimeras ton frère comme toi-même" C'est-à-dire participe au bonheur et au malheur d'autrui tout en le respectant.

Par DELORME Marie 11 juin 2016 à 10 h 08 Répondre à ce commentaire

je réponds à Marie pour lui dire que je pense que l'Abbé Pierre était jaloux de ses frères et sœurs comme on peut l'être à 12 ans. Ce qui est remarquable c'est la phrase de son père qui a changé sa vie. Ne sommes nous pas en attente nous aussi pour changer notre vie, en tout cas pour ma part c'est cette attente de la Parole du "Père" qui me motive....

Par d'aubigny 11 juin 2016 à 20 h 20

se réjouir du bonheur des autres, une véritable générosité,..etre certain que DIEU existe et qu'il nous aime vraiment voilà le vrai bonheur !

Par Joelle 11 juin 2016 à 8 h 05 Répondre à ce commentaire

Seigneur, fait nous devenir des serviteurs de vie. Que ta miséricorde nous accompagne. Merci pour cette vivante méditation.

Par Augustine Latey 11 juin 2016 à 3 h 25 Répondre à ce commentaire

C'est une très belle leçon d'amour que le père a donné à son fils il lui a permis de grandir c'est très important de faire comprendre aux enfants de ce réjouir du bonheur des autres pour ne pas nourrir de jalousie,de haine,de révolte...en partageant le bonheur des autres cela nous conduira vers le chemin de la sainteté, de la vraie vie !!!Merci pour cette belle méditation!!!

Par Marie-Noëlle HONORE 11 juin 2016 à 0 h 07 Répondre à ce commentaire

le bonheur se trouve avec Dieu et près de lui, sans lui nous ne sommes rien! En s'occupant des autres et en les soutenant dans leurs difficultés nous contribuons a leur bonheur, a celui de Dieu et au notre par la même occasion

Par gendre 10 juin 2016 à 21 h 18 Répondre à ce commentaire

ancien email piraté je vous envoie le nouveau merci

Par GNANSOUNNOU 10 juin 2016 à 20 h 39 Répondre à ce commentaire

Par curiosité, l'Abbé Pierre aurait pu connaître comment s'était passée la fête. Est'ce sa colère qui le pousse à répondre comme il l'a fait?
Ce qui me pousse à méditer ce sont ces phrases:"La Bonheur des autres étant la condition de son Bonheur et que le Bonheur des autres n'enlevait rien à son Bonheur. Je devrais l'appliquer à mon comportement.
Deuxième phrase:" Soyons des serviteurs de la vie"

Par Gabrielle 10 juin 2016 à 20 h 07 Répondre à ce commentaire

Je vous remercie de me permettre de puiser au fond de mon coeur l'eau vive qui y est en abondance afin que je puisse abreuver, à mon tour, les gens que le Seigneur met sur mon chemin. Quelles belles paroles de sagesse!

René Lefebvre

Par Quel beau message! 10 juin 2016 à 19 h 06 Répondre à ce commentaire

Merci à Micheline pour son soutien,
monette 18h20 également !!

Par monette 10 juin 2016 à 18 h 22 Répondre à ce commentaire

Merci frère Nicolas pour cet exemple si clair et qui simplifie la compréhension de la Parole.
Maman de trois garçons, adultes à présent, combien de fois ai-dû réajuster leur comportement!!
Moi-même, dans les moments difficiles, Dieu sait qu'il y en a, au cours d'une vie, pas simple de rester dans le droit chemin.
Et en parlant de chemin, Dieu me donne, par ce texte, à réfléchir et méditer sur mes racines, si bien que j'en viens à penser à mettre par écrit, pour mes enfants, mon vécu, un peu de mon histoire, pour qu'ils puissent un jour, eux aussi le transmettre, je crois à la valeur de la famille. C'est important pour se construire solidement avec l'aide de Dieu qui nous mène....sur le chemin. Bonne soirée à toutes et tous!!

Par m 10 juin 2016 à 18 h 20 Répondre à ce commentaire

Le témoignage et la transmission de la réalité d'un vécu sont certainement une belle oeuvre qui plaît à Dieu.Qu'il vous bénisse avec toute votre famille!
Jean-Luc

Par Jean -Luc Martin 10 juin 2016 à 20 h 09

Bon......soir,
Ne perdons pas du temps , qui est si précieux , à être jaloux , cela ne rend pas heureux et comme dit ma très chère Maman , regarde en dessous de toi et non au dessus de toi!!! est-ce que les gens qui ont tout sont heureux ? j'en doute , patienter , faire des économies pour s'offrir quelque chose qui me tient à coeur , connaître la valeur , le manque , alors quand j'arrive au "but" je connais le "prix" à payer... la jalousie rend malheureux et détruit l'humain , voilà mes pensées
Union de prières

Par annie 10 juin 2016 à 18 h 08 Répondre à ce commentaire

Frère Nicolas, merci pour votre façon de nous faire connaître et aimer la Parole de Dieu. Les exemples employés sont simples
et faciles à comprendre. Cette Parole de Dieu me rejoint énormément. Oui, comme c'est vrai que le bonheur des autres m'aide également à me réjouir. Voilà une force...qui à mon sens devient contagieuse! Encore une fois merci et continuez votre beau travail de transmission.

Par Suzanne 10 juin 2016 à 16 h 46 Répondre à ce commentaire

Le bonheur des autres est la condition de mon bonheur. Que ton Esprit-Saint, Esprit d'amour, m'aide, Seigneur, comme Isaac à faire jaillir là où je vis, la vie en abondance pour ceux que je rencontre sur le chemin qui me conduit vers cette Vie en plénitude.
En UDP avec toutes et tous.

Par Jean-Louis 10 juin 2016 à 16 h 40 Répondre à ce commentaire

Frère Nicolas le début vos méditations sont toujours d'appoint elle nous prépare a recevoir et comprendre le message de la bible. Merci de m'éclairer si bien , je vais prier pour vous pour que le début de vos homélies soient toujours de cette qualité pour nous faire comprendre le message de Jésus

Par André Larouche 10 juin 2016 à 16 h 24 Répondre à ce commentaire

Il est plus difficile de se réjouir bonheur des autres lorsque nous sommes malheureux, la tentation est grande alors de jalouser, d'envier. Les Philistins ont été jaloux d'Isaac jusqu'à vouloir détruire ce qu'il avait construit, Isaac aurait pu développer un esprit de vengeance, devenir haineux et même violent, au contraire il préfère agir pour le bien, et creuse des puits qui existaient déjà, mais avaient été rebouchés par les philistins après le départ d'Abraham, cette vie qui jaillit à nouveau contient une forte symbolique: si nous marchons dans les pas du Seigneur rien ne peut décourager, comme vous nous le dites si bien frère Nicolas, " soyons des serviteurs de la vie! " UDP avec chacun de vous

Par MARIE 10 juin 2016 à 15 h 15 Répondre à ce commentaire

Qui pourrait dire qu'il ne s'est pas trouvé une seule fois dans une situation similaire ... ?
La joie de se faire remettre à sa place, c'est lumineux Père Nicolas et (feu) Père Pierre

: MERCI !

Par Lyonyx 10 juin 2016 à 14 h 54 Répondre à ce commentaire

Rien de mieux que de savoir partager , apprécier d'être ensemble car la joie se communique . ainsi j'aime beaucoup les repas de famille ou entre amis. bon partage à tous dans la joie. Merci encore .

Par Marguerite 10 juin 2016 à 13 h 56 Répondre à ce commentaire

Ce passage et cette méditation me font penser et me font croire davantage que nous ne sommes pas seuls, nous devons partager lex joies et les peines de nos frères chrétiens.
En effet, comment connaitre la Paix et la Joie et vivre intensément la vie si nous ne pensons qu'à nous mêmes. L'histoire de l'Abbé Pierre nous le rappelle su bien.
Sachons tout partager et sachons être heureux du bonheur, de la joie des autres et nous verrons combien est plus facile de vivre...
Merci Frère Nicolas et bonne journée à tous dans le partage...

Par Marie Josèphe 10 juin 2016 à 13 h 25 Répondre à ce commentaire

Quel beau texte et cette grandeur d'âme quand Isaac s'en va plus loin mais Dieu est avec lui.
Oui, il faut partager le bonheur avec les gens qu'on aime car ce sont de pures moments de joie, d'amitié et de partage.

Anne-Marie DUVIVIERS

Par Anne-Marie Duviviers 10 juin 2016 à 13 h 24 Répondre à ce commentaire

Merci pour cette méditation et ses commentaires.
Oui, l'abbé Pierre et son père, nous montrent en quoi nous devons être attentifs....
Oui, moi aussi j'ai eu la même réaction en ne voulant pas partager un bonheur familial, pour d'autre raison,mais je me pose désormais cette question: pour qui est-ce que je me prends pour raisonner ainsi?

Par Geneviève Dauneau 10 juin 2016 à 11 h 30 Répondre à ce commentaire

Je suis frappé par le fait qu’Isaac retourne dans ses racines, pour retrouver les puits de son père Abraham.
Comme s'il venait y retrouver des forces.
Ensuite, il creuse à nouveau, et met à jour une nouvelle source d'eau vive.
Cette eau me fait penser à l'amour infini du Père, qui se manifeste dans tout ce que nous recevons de Lui.
Je peux essayer d'exploiter ces dons tout seul. Je deviendrai peut-être riche et considéré. Mais je resterai seul.
Je peux essayer de m’approprier la source d'un autre. Et je chercherai sûrement des arguments pour me justifier.

Me vient l'image de deux enfants, de chaque côté d'un ruisseau.
Ils se partagent le ruisseau : « ce côté-ci c'est à moi, ce côté là c'est à toi ».
Chacun, sur sa propre berge, plonge son seau dans le ruisseau, pour le vider dans la rigole d’un chemin.
C'est amusant. Dans leurs rêves, ils sont chacun le roi d'une montagne.
Je me réjouis d'entendre les éclats de rire des enfants.
Je pense également à l'eau du ruisseau, qui s'écoule sans fin vers eux, tout simplement et sans choisir, dans son lit, ni la gauche ni la droite.
L'amour de Dieu est infini. Nous pouvons le partager. Nous ne pouvons pas nous l'approprier.

Bonne journée à tous, vraiment.

Par Paul (Belgique) 10 juin 2016 à 10 h 52 Répondre à ce commentaire

Merci Paul, c'est beau l'histoire des enfants, tellement innocence des petits, bonne fin de journée

Par brig 10 juin 2016 à 14 h 25

Le bonheur des autres... Est-il de mon "ressort"?

L'abbé Pierre a peut-être trouvé qu'il était trop difficile de se réjouir du bonheur des autres quand on n'avait pas eu part à ce qui a fait jaillir leur joie, qu'on en est (ou a été) privé, que ce soit parce qu'on a fait une (des) bêtise(s) ou pas...

"Soyons des serviteurs de la vie: faisons jaillir la vie en abondance pour nos prochains afin d’avoir part à cette vie. " peut-être que j'entends mal cette phrase parce que mon ouïe est faussée par les "crachouillis" de ma vie, mais je n'aime pas cette idée de "donnant-donnant" : faisons ceci afin d'avoir cela.
Mais peut-être que ça veut tout simplement dire : soyons acteur de nos vies pour prendre part à la vie... A chacun son chemin. Peu importe que le talent donne le double ou le centuple, l'essentiel est de ne pas enfouir la pièce... Ou sinon il ne reste plus qu'à creuser pour aller la chercher...

Bonne journée.

Par Sr Isabelle 10 juin 2016 à 10 h 37 Répondre à ce commentaire

" faisons jaillir la vie en abondance pour nos prochains afin d’avoir part à cette vie"
Je ne comprends pas cette phrase comme un "donnant-donnant" comme vous le suggérez mais comme une constatation: le fait de rendre heureux rend heureux; le fait de donner de la vie donne la vie ( automatiquement, sans idée de marchandage, de récompense ni de rien qui s'en approche). Il me semble que ce '" afin de" doit être compris comme "et nous aurons".
Bonne soirée
Sasasita

Par Sasasita 11 juin 2016 à 19 h 49

Ce matin, je suis très interpellée par la phrase du père de l'Abbé Pierre; quelle leçon d'éducation! On ne peut que souhaiter de tels pères aux enfants d'aujourd'hui et aussi s'interroger sur l'éducation que nous avons donné à nos enfants; Abraham avait su donner l'exemple à Isaac.
Heureusement, nous pouvons compter sur l'Esprit Saint.
Odette

Par Faure 10 juin 2016 à 10 h 27 Répondre à ce commentaire

J'imagine qu'il y a plusieurs manières de faire jaillir la vie : les actions concrètes pour amener l'eau dans les camps de réfugiés à Erbil par exemple ; les paroles, gestes envers autrui pour apporter un peu de douceur. Je retiens la phrase de Frère Nicolas "le bonheur des autres n'enlevait rien à son bonheur". Il n'est pas nécessaire de se comparer aux autres pour éprouver plaisir et joie. Seigneur, que tous ceux qui ont soif trouvent le puits où ils pourront se réconforter.

Par mahona 10 juin 2016 à 10 h 01 Répondre à ce commentaire

Désolé de ne réagir que sur la forme...
"et laissa accuser son frère à sa place " serait préférable. ..
cordialement
Patrick

Par Patrick 10 juin 2016 à 9 h 28 Répondre à ce commentaire

Belle leçon du père de l'abbé Pierre, je pense que je ne sais pas toujours me réjouir du bonheur
des autres. Je vais essayer d'aller dans ce sens.Merci frère Nicolas Andrée

Par andrée 10 juin 2016 à 9 h 22 Répondre à ce commentaire

l'Abbé Pierre, comme beaucoup d'enfants, à fait une, peut être plusieurs, bêtise, mais cela ne l'a pas empêché d'être un Saint Homme et de consacrer sa vie au service des autres.
Quel meilleur exemple de leçon de vie ! Il a suivi les pas du Christ, emboitons lui le pas à la recherche du Seigneur, Dieu d'amour et de vie.

Par SYLVESTRE14 10 juin 2016 à 9 h 16 Répondre à ce commentaire

"Il n'y a pas de plus grand bonheur que de rendre les gens heureux"

Par Isbergue 10 juin 2016 à 8 h 47 Répondre à ce commentaire

Quelle belle histoire, ce matin ... encore plus attachant cet "Abbé Pierre" ...et la méditation est riche aussi ! Quelle chance nous avons de pouvoir être alimentés ainsi "d'eau vive" ... faisons-en quelque chose ...

Par Koutler 10 juin 2016 à 8 h 29 Répondre à ce commentaire

"Il ne suffit pas d'être heureux, encore faut-il que les autres ne le soient pas !" (Jules Renard, bon connaisseur de la nature humaine). C'est naturel et moche d'être jaloux. J'aimerais mieux avoir ce que les autres n'ont pas que l'inverse. Mais ce faisant, j'oublie que Dieu m'a créée unique et que c'est à moi de développer mes ressources propres. Si je n'ai pas cette humilité et cette honnêteté, je chercherai à détruire le bien des autres car la comparaison me fait mal. Ce n'est pas si facile de se réjouir du bonheur des autres (par ex. je suis pauvre ou gravement malade ou isolée, j'aurai tendance en 1ère réaction à haïr ceux qui sont riches, ou bien portants, ou très entourés...).Le bonheur peut devenir insultant s'il est trop ostentatoire. La prévention de la jalousie est la discrétion, la tolérance, le partage...Cette histoire pose la question de savoir comment réagir à la jalousie : Isaac l'admet, il ne réplique pas (ne se laisse pas rabaisser à ce niveau de sentiments stériles), il se met simplement au boulot pour réparer le mal fait et continue sur sa route.

Par Antoinette 10 juin 2016 à 8 h 18 Répondre à ce commentaire

La joie est communicative. Il est difficile de la communiquer dans un monde rempli d'égoïsme et où certaines personnes sont centrées sur leur nombril. J'ai souvent cette expérience: de nature souriant quand mon regard croise celui d'un individu, il y en a qui me rend la pareille, d'autre te regarde avec mépris. Deux réactions opposées. Parfois, si c'est dans un transport en commun, je ne regarde plus la personne. Si elle s'endorme, c'est sur que je ne vais pas la réveiller. Je risque de recevoir un autre coup beaucoup plus grave. Se réjouir du bonheur des autres, est certainement une des voix les plus sûres d'arrivée à son propre bonheur. Je rends grâce à Dieu pour m'avoir permis de toujours prendre comme une occasion de joie celle des autres. La jalousie détruit plus la personne. Elle ne lui rend aucun service.
Merci pour vos commentaires et bon week-end

Par Gilles 10 juin 2016 à 7 h 46 Répondre à ce commentaire

Merci pour cette belle histoire de l'Abbe Pierre

Très bel exemple pour nous tous

AMITIES
Gg

Par Grosgogeat 10 juin 2016 à 7 h 29 Répondre à ce commentaire

Un vrai ami de Dieu se réjouit toujours du bonheur des autres. Toutefois, si l'esprit de jalousie est envahissant, le nommer et le jetter tout de suite au pied de la Croix, lieu de purification, lieu d'une vie nouvelle et abondante.

Eva

Par Eva 10 juin 2016 à 7 h 28 Répondre à ce commentaire

certainement qu'il est plus difficile d'être souriant lorsque l'on, est malheureux.
. Je plains les gens méchants et négatifs... Je suis âgée et déplore l'égoïsme du monde qui m'entoure
Merci pour vos méditations. Bonne journée à tous

Par Benk Andrée 10 juin 2016 à 8 h 19

Je serais prête à signer votre commentaire, Eva. Vous dites beaucoup en peu de mots.

Par Marie-Thérèse L. 10 juin 2016 à 17 h 46

Bonjour a vous tous et toutes,
isaac,n'a pas tiré profit des triste expérience de son père, mis a l'épreuve par la famine, pour se mettre lui et les siens à l'abri de la famine, mais après il sème et récolte, Dieu bénissant son travail, sa prospérité éveille la jalousie, comme au temps d'abram, ces derniers cherchent a privé l'homme de Dieu de l'eau,nécessaire a la vie a l'image de la parole et des sources rafraîchissement spirituelle dont les générations qui nous précédent ont joui avant nous où nous avons à puisé pour nous -même, que le seigneur nous donne un oeil simple et un esprit docile.
Dieu n'est pas Dieu d'un seul, mais de tous ceux qui vont la paix avec lui et obéissant a son alliance, Dieu n'oublie pas ceux qui le servent,il est serviteurs de cette miséricorde, et même si nous vivons des épreuves, cela ne doit pas être pris comme un signe de rejet.
Seigneur, que je sache retenir les leçons que tu as donné, je veux me garder de la compromission pour mon âme soit large,et je prie pour ceux qui s'opposent a la vérité, pour qu'un jour ils viennent à toi....petite serviteurs de la miséricorde

Par brig 10 juin 2016 à 7 h 19 Répondre à ce commentaire

Isaac, le nomade, "fit des semailles". Il en faut de l'eau pour que celles-ci donnent ainsi le centuple. Il en faut de l'eau, pour abreuver hommes et animaux.
Puits bouchés, débouchés, il y a comme un mouvement qui se répond entre les Philistins et Isaac. Dans leur jalousie, ce sont eux-mêmes que les Philistins privent de cette eau bénie, eux-mêmes qu'ils tarissent. La jalousie dessèche sur pied, elle durcit la chair humaine, la conforme à son aridité, à sa stérilité.

Isaac, chassé, puise là où avait puisé son père et devient bénédiction pour cette terre qui l'accueille, comme il l'avait été chez Abimélek. Souvent, il me semble, il est dit que le Seigneur "ouvre le sein" des femmes stériles de la Bible. Et peut-être y a-t-il là quelque chose de ce que fait Isaac en rouvrant ces puits: c'est le sein de la terre qu'il ouvre de nouveau, c'est la vie qui se propage de cette terre qui enfin respire. La vie bénie par Dieu qui irrigue Isaac rejaillit sur ceux qui l'entourent.

De même que le Seigneur "se souvient" des femmes en désir d'enfant, Isaac se souvient des puits de son père. En marchant dans les traces d'Abraham, c'est aussi dans la fécondité qu'il le suit. Il en accepte l'héritage, lui qui donne à ces puits le nom que son père leur avait choisi. Mais c'est bien au Père qu'il ressemble, à lui que peu à peu il se conforme, en faisant poindre les sources, en révélant la source de sa vie. C'est fort de l'héritage de marcher avec Dieu qu'Isaac avance, mais il le dépasse pour trouver enfin les chemins qui lui sont siens.

Le Seigneur, sur la montagne de Moriyya l'a laissé vivre, il l'a voulu en vie - et Isaac vit. Curieux d'ailleurs comme, même le sachant âgé, c'est l'image du jeune homme qui toujours reste d'Isaac. Jeune de la jeunesse de Dieu, Isaac, de sa jeunesse éternelle. Ces eaux vives qu'il fait jaillir, depuis toujours elles infusent son être de la Vie de Dieu. Et cette vie, inarrêtable, inaltérable, éclabousse terre, bêtes et hommes de la grâce du Père. Sa vie est féconde, sa vie féconde.

Isaac qui révèle des sources, Isaac qui offre accès à la Source de sa vie, qui vit et donne vie, nous invite à marcher à sa suite. Comme lui, il nous invite à trouver, forts de l'expérience de nos pères en Dieu, nos propres chemins avec le Père. Comme lui, nous invite à puiser à Sa Source et être de vrais porteurs, de vrais donneurs de vie. A être des serviteurs de la vie, comme vous le dites si bien, fr. Nicolas, où que mènent les méandres de nos chemins. Ne vont-ils pas tous à Dieu?

Par Audrey 10 juin 2016 à 6 h 57 Répondre à ce commentaire

Se réjouir du bonheur des autres est tout aussi important que de compatir à la souffrance de son prochain.

Par Ghislaine 10 juin 2016 à 6 h 56 Répondre à ce commentaire

Je suis bien d'accord avec vous Ghislaine, car dans la souffrance, nous trouvons bien souvent seul,et abandonné ,seul Dieu reste avec le même regard poser, sur nous, avec amour,bonne journée fraternellement

Par brig 10 juin 2016 à 7 h 30

Hier , je vous ai laissés , un verset , sur ce sujet .
Ils regardèrent celui qu'ils avaient transpercé ..
David aussi rencontre parmi ces frères de la jalousie ..
dans sa propre famille , ainsi , Jésus nous donne à comprendre
autrement les béatitudes , car quand il y a de l'eau vive , il y a
pas forcément partage , mais envie , surtout quand cela concerne
Dieu , puisque nous prions pour l'unité , les apôtres discutaient pour
savoir qui était le plus grand ! La prière de Saint François me parle
au cœur , dans toute sa sainteté , car c'est en donnant que l'on reçoit
C'est en pardonnant que l'on obtient le pardon , et c'est en mourant
que l'on ressuscite à la vie Eternelle ...
Le psaume 51 : ne me retire pas Ton Esprit Saint , met en moi un cœur
nouveau ...Puis non sans humour , je pense à une chanson : La jalousie à brisé
notre amour .Ainsi un tel dira : Car je ne fais pas le bien que je veux et je fais le
mal que je veux pas ....Jésus dira , ils vous feront mourir , croyant rendre un culte
à Dieu , posons notre regard sur notre Monde , dans nos familles , nos communautés ...
s'il en reste ..Que j'apporte Le pardon , là ou il y a la discorde ...

Par Fred 10 juin 2016 à 6 h 48 Répondre à ce commentaire

"Un regard vivant ", " le bonheur des autres " .... Merci pour ces méditations qui ouvrent mon coeur , changent mon regard sur les autres ,me poussent à vivre ma foi dans la joie .

Par Françoise40 10 juin 2016 à 6 h 41 Répondre à ce commentaire

"Chassé par les jaloux, il aurait pu devenir amer ou violent" mais alors il aurait été infidèle à l'unique Dieu de la Vie, le Dieu des vivants... Et serait devenu un frère des jaloux et violents qui désirent l'exclure obéissant à un dieu idolâtre, qui par l'orgueil, l'autosuffisance ne séme que haine et mort...
Non! " il a choisi de déblayer les puits de son père Abraham pour que la vie jaillisse de nouveau!"... Et ainsi rendre Gloire à son Pere!
Beau chemin à suivre qui demande humilité et Amour véritable pour la Vie...!
Et donne espérance à toute une descendance ...

Par Caroline 10 juin 2016 à 5 h 59 Répondre à ce commentaire

"Devenir un ami de Dieu, devenir un ami de la vie qui jaillit", voilà la phrase qui éclaire ma journée ce matin. Votre si beau texte, m'incite à ce retour, quels sont les puits de ma vie qu'il me faut déblayer aujourd'hui pour être davantage une amie de Dieu ?
merci pour votre commentaire Suzanne et belle journée à chacun.

Par Sophie 10 juin 2016 à 5 h 22 Répondre à ce commentaire

Ce réjouir du bonheur des autres. L'histoire de toute une vie. Cela s'apprend avec la certitude que Dieu es la pour nous aider.
Merci de ce beau partage qui me fait réfléchir.

Par Suzanne 10 juin 2016 à 4 h 56 Répondre à ce commentaire
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